Maxime (TSI : 2004-2006)

Lycée Loritz (Nancy), Bac STI-GE – ENSEIRB – Thales Communications

Après un bac STI genie électronique au lycée Loritz et beaucoup d’hésitations, j’ai intégré la prépa TSI en 2004. La prépa même si elle est difficile surtout en spé m’a permis d’apprendre des méthodes de travail et surtout m’habituer à un rythme d’apprentissage rapide.

J’ai ensuite été admis à l’ENSEIRB dans le département télécommunications. Je n’ai pas ressenti une différence de niveau avec les personnes issues d’autres prépas. Nos compétences théoriques sont légèrement moins bonnes mais par contre il est plus facile de faire la différence dans les domaines pratiques.

J’ai ensuite rapidement été embauché dans une SSII grâce à mon stage de fin d’étude. Aujourd’hui je travaille chez Thales Communications en tant que ingénieur réseaux. Au quotidien, je m’occupe de définir des architectures réseaux et de les valider pour répondre aux nouveaux besoins des clients. J’apporte aussi un support et des conseils aux autres entités de l’entreprise. Je participe également au management technique d’une petite équipe.

Stéphane (TSI : 2006-2008)

Bac STI-GE – ENSIAME – PSA

J’ai obtenu le bac STI génie électrotechnique en 2006 avec la mention bien.
Je me rappelle à cette époque j’hésitais à me lancer dans cette aventure pensant que je n’avais pas forcément les capacités pour réussir. Convaincu par mon prof principal de terminale d’essayer la TSI et au pire de me réorienter vers un BTS, j’ai tenté l’expérience. Maintenant je suis content d’avoir suivi ce parcours.

La prépa s’est bien passée pour moi, en première année je me rappelle que la difficulté des cours a augmenté progressivement pour que tous le monde puissent accrocher le bon wagon. L’ambiance en classe était très bonne et tous le monde s’entraidait. Bien sûr la charge de travail est plus conséquente qu’en terminale, mais personnellement je m’arrangeais pour tout faire à l’internat la semaine et ainsi pouvoir souffler un peu le weekend.

En deuxième année la difficulté a un peu augmentée mais reste tout à fait gérable. Je garde un très bon souvenir de la TSI.

Concernant l’après TSI, j’ai passé uniquement le concours CCP à la suite duquel j’ai intégré l’école ENSIAME en section mécatronique. En école d’ingénieur tout change. Le rythme est moins élevé, les cours sont plus concrets et les fêtes beaucoup plus fréquentes ;). Néanmoins il faut continuer à travailler un minimum surtout à l’approche des partiels.

J’ai effectué mon premier stage aux Pays Bas dans un laboratoire de physique nucléaire (KVI) où j’ai développé et calibré un détecteur de particules Bêta (enfin la partie électronique et informatique). Ensuite en dernière année, j’ai développé un robot commandé par FPGA (Une petite vidéo montre son fonctionnement : http://www.youtube.com/watch?v=ZeYkffbFnSg). Enfin j’ai réalisé mon stage de fin d’études chez PSA sur le site de La Garenne Colombes, où mon objectif était d’élaborer des règles de conception permettant d’optimiser le fonctionnement des lois de commande actionneurs.

Je viens d’obtenir mon diplôme d’ingénieur et j’ai signé début septembre un CDI chez PSA mais cette fois ci sur le site de Sochaux. Je suis chargé de développement et de validation d’éléments mécatroniques ( ouvrants motorisés, sièges motorisés etc …)

Si je peux vous donner un conseil, essayez la TSI ça vaut vraiment le coup. Et surtout ne négligez pas votre anglais, ça sera indispensable dans votre futur job quel qu’il soit.

Xavier (TSI : 1999-2001)

Bac STL Optique – INSA (Strasbourg) – VINCI

 La TSI : beaucoup de travail mais avec le recul c’est durant ces années qu’on apprend le plus la rigueur. L’autonomie on l’apprend ensuite. Par contre il n’y a malheureusement plus grand-chose que j’ai appris en prépa qui sert aujourd’hui.

Ecole d’ingénieur INSA Strasbourg (encore Ensais quand je suis rentré en 2001). Option électricité. Beaucoup moins de travail que les années prépa évidemment, mais pas le même travail ni la même attente donc plus d’autonomie. Pas grand-chose sur le monde du travail avant l’entrée effective dans celui ci.

Formation essentiellement technique, peu d’économie et de sciences humaines. Trop peu de langues étrangères, comme bien souvent en France.

Un gouffre entre ce qu’on apprend à l’école et la suite, mais là encore, rien de neuf sous le soleil.

Le concret du quotidien actuel : responsable d’affaires dans une entreprise de TP appartenant au n°1 mondial Vinci. Consiste en la gestion de chantiers de tailles variées, financièrement et techniquement. Logique de travail quasi exclusivement basée sur le financier, ce qui minimise le rôle de l’humain. Là encore un gouffre entre les cravates grises des bureaux et les besoins réels. Cravate grise que j’ai l’honneur de porter quelques fois, ce qui enlève en partie de l’ironie à la phrase précédente.

Oui, bons souvenirs de prépa et de Louis Vincent, malgré tout l’ouverture d’une section féminine aux abords du lycée améliorerait le moral des pauvres élèves dont j’ai fait partie, sans pour autant (enfin je crois) que les résultats en pâtissent, et éviterait peut être aussi les problèmes de vue consécutifs à l’incessante vision d’un IPhone.

Marc (TSI : 1996-1999)

Bac STI-GM – SupMeca – SOGETI

J’ai passé un BAC STI GM option Productique et je suis sorti de la TSI après une 5/2 en 1999.

A priori je pourrais dire que mes années de classe préparatoire ont été difficiles car je devais combler mes lacunes notamment en physique. Lacunes principalement liées à l’écart de programme entre les différentes filières (dans mon cas, un gros écart entre la formation STI GM et celle de STL par exemple).

Mais au final, j’en garde pour autant un très bon souvenir car je retire beaucoup de choses positives qui me servent encore maintenant :

– Ça a forgé mon caractère

– Tu apprends à résister à un stress important

– Tu apprends à te servir de ta tête

Aussi, je garde en mémoire une ambiance géniale à l’intérieure de la promo, surtout en 3/2 et 5/2. J’ai d’ailleurs encore des contacts avec certains

J’ai intégré l’ISMCM-CESTI de Paris (cela doit s’appeler SupMeca maintenant).

C’est une école généraliste très orientée mécanique et matériaux.

Pour ma part j’ai choisi l’option « production automatisée » en ligne avec ma formation STI GM.

Après mon parcours scolaire, j’ai intégré la société TNI-software (aujourd’hui Geensys membre du groupe Dassault Sysytème).

J’y étais employé en tant qu’ingénieur de test/validation logicielle. J’ai ensuite évolué vers un poste de Test manager avec notamment l’encadrement de projets offshore au Vietnam.

J’ai ensuite évolué vers un poste de support avant-vente ce qui m’a permis de voyager beaucoup (Europe, Chine, Australie,…).

En 2008, j’ai intégré la société de service SOGETI du groupe CAPGEMINI en tant que consultant test pour des missions diverses notamment dans les institutions européennes à Luxembourg.

J’avais alors en charge la rédaction des tests et l’exécution de ceux ci pour différents projets du parlement européen.

Depuis 2010, j’ai rejoins la structure de la société en tant que responsable du développement de l’activité du département « Testing services » de SOGETI Luxembourg.

Dans la cadre de cette fonction, j’ai en charge le développement commercial de l’activité ainsi que le suivi des consultants sur leurs missions (22 personnes à ce jour).

Mes taches au quotidien sont maintenant la prospection et les RDV commerciaux, le suivi de la réalisation des projets, l’évaluation annuelle des consultants et le recrutement des nouveaux.

Vincent (TSI : 2006-2008)

Bac STI-GM – ISMANS

J’ai passé un bac STI Génie Mécanique, et j’ai passé et réussi mes concours de prépa en Mai 2008.

Et bien, je suis très satisfait de la formation que j’ai reçue au cours de ces 2 années. Les professeurs ont fait le nécessaire pour qu’on passe tous les concours avec le plus de moyens possibles. Au passage, les profs de méca et d’élec doivent continuer à démystifier les concours centrale-supélec, qui ne sont pas uniquement à la portée des têtes de classe (je parle du premier par exemple). Il faut le tenter à tout prix, ça ne coûte pas grand chose, mais ça demande tout de même un minimum de travail (donc ne pas forcer la main non plus si c’est peine perdue). A mon sens, tout le monde peut le réussir en travaillant correctement.

Avec le recul, je trouve que j’ai travaillé dans une bonne ambiance, j’ai acquis des connaissances, pas toujours utiles pour la suite (mieux vaut trop que pas assez) mais cela m’a permis de me faciliter le travail à l’ISMANS (l’école d’ingénieur que j’ai intégrée après les concours), surtout pour la première année. J’ai compris que le travail d’une classe prépa n’était pas de fournir des connaissances (bien que la base fournie permet de mieux comprendre la suite et de faciliter l’apprentissage théorique), mais surtout d’obtenir un potentiel de travail plus important. Grâce à la prépa, j’ai pu travailler avec un rythme soutenu aux moments où j’en avais besoin, alors que sans, je n’aurais peut- être pas eu le courage de le faire.

En clair, je garde un très bon souvenir de la prépa TSI de Louis Vincent, et je conseille toute personne ayant un minimum de potentiel à tenter le coup.

Au passage, il faut remercier mon prof principal en Terminale (mon professeur de productique, en partie pratique) de ma part pour m’avoir poussé à faire cette prépa.

 Après des concours plutôt réussis, j’ai été grand admissible à l’ISMANS ainsi qu’admissible à l’ENSAM. Ce dernier me tentait de moins en moins à cause des problèmes de bizutage (toujours d’actualité parait-il). J’ai néanmoins passé les oraux que j’ai moyennement réussi. Le TIPE a été ma roue de secours, à mon insu (je ne comptais pas la dessus pour y arriver, mais je m’en suis bien sorti). Remerciez donc de ma part les profs de techno pour cela, car ils m’ont bien aidé pour la mise en forme notamment.

Finalement, j’ai donc été admis à l’ENSAM, mais j’ai refusé. L’ISMANS m’attirait  plus, car il mettait en avant la mécanique et les matériaux, alors que l’ENSAM n’avait, comme point fort, que la notoriété.

J’ai donc choisi l’ISMANS (Institut Supérieur et mécanique et matériaux avancés du MANS) et ne regrette en rien ce choix. C’est une école à taille humaine (environ 15 professeurs à temps plein pour 270 étudiants les 3 années confondues, sans compter les intervenants extérieurs), regroupant des professeurs doués et pédagogues, ainsi que des industriels invités pour nous fournir des cours plus proches  du monde industriel afin de concrétiser nos connaissances.

En fait, ça se déroule de cette manière : en 1ère année, on a beaucoup de cours théoriques (Maths pour l’ingénieur, équivalent à la première année de prépa, en moins poussé, Thermodynamique, physique du solide, RDM, polymère, base de la mécanique quantique …), quelques projets avec un encadrement très poussé pour nous apprendre les rudiments de la réflexion de ce type ainsi que nous apprendre certaines notions et logiciels (comme le projet d’ingénierie numérique nous apprenant à nous servir de MatLab pour faire de la programmation). Aucune spécialisation n’est effectuée à ce moment.

en 2ième année, on se spécialise (CMF pour Conception Matériau fonctionnel, concernant l’étude des matériaux à l’échelle nanoscopique, MCOP concernant l’étude et la modélisation de structures macroscopiques par élément fini, et G2CP pour Gestion de Cycle de Production concernant une formation plus générale, et beaucoup de management). J’ai choisi CMF, car cela m’intéressait  plus, et, encore une fois, je ne regrette pas mon choix. Par exemple, il y a les cours de mécanique quantique avancée, des bases de la modélisation moléculaire, des notions sur la physique de la matière (notion de diffusion, de mélange, réaction avec la lumière … etc), caractérisation des matériaux (savoir ce qu’est la RMN, savoir étudier un spectre UV-visible, connaître la spectrométrie infra-rouge, Raman, la STM, AFM … etc) … . Il y a toujours des cours communs (comme des notions sur les milieux continus, sorte d’extension de la RDM, la base sur les éléments finis, du management de projet …), et davantage de projets, réalisés de façon plus autonome (des projets de modélisation moléculaire notamment).

Enfin, la 3ième année, où l’on choisit  une dernière spécialisation (j’avais le choix entre modélisation moléculaire avancée et modélisation d’injection, j’ai choisi le premier), et cela influe sur la finition de nos études. Dans mon cas, je suis resté dans la théorie quasi pure (bien qu’il y ait  une utilisation pratique de ces outils), ce qui m’a facilité mes admissions dans la recherche, tandis que l’autre est plus pratique et facilite davantage l’insertion dans le monde industriel. Pour cette 3ième année, il y a beaucoup de projets, de manière davantage autonome, et le projet important, qui fait 6 mois, nommé PRIE (pour Projet de Recherche Industriel Encadré) qui compte pour 1/3 de la 3ième année à l’ISMANS (encore de la modélisation moléculaire, avec l’étude de la chimisorption d’une molécule de silane, sur une surface de silicium).

L’anglais est une langue très importante que l’on apprend au cours des 3 années. Au cours de ma formation CMF, j’ai pu constater par moi- même l’absolue nécessité de maîtriser cette langue. Mon niveau a beaucoup progressé depuis la prépa grâce à ces cours et aux nombreux articles scientifiques que j’ai pu lire. Au passage, je remercie le prof d’anglais pour ses conseils et les notions de bases d’anglais que j’ai pu avoir grâce à lui.

Il y a bien sûr aussi les stages, à la fin de chaque année. J’ai effectué mon premier au LMOPS (Laboratoire de Matériau et OPtoéléctronique des Systèmes) à Supèlec, pendant 6 semaines. Le second, à Kazan (en Russie, à 800 km à l’Est de Moscou) à l’université fédéral de Kazan, 2ième meilleure université de Russie pendant 7 semaines, avec un professeur très reconnu : M. Tayurskii, connu d’un des professeurs de l’ISMANS. Et le dernier à l’INERIS, à Creil au nord de Paris, pendant 6 mois. Tous trois étaient portés sur la recherche, entre étude de la biréfringence du niobate de lithium (LiNbO3) avec utilisation de spectroscope Raman, pour le premier, l’étude de l’interaction entre un atome d’hélium et un nanotube de carbone, par modélisation moléculaire, pour le deuxième, et l’étude sur la substitution de substances chimiques en utilisant l’approche structure-propriété inverse (appelé QSPR inverse) pour le dernier. Celui-ci a fait l’objet de la présentation permettant de valider la deuxième moitié de la 3ième année de mon cursus, ainsi que l’obtention du diplôme d’ingénieur, une sorte de Teuf géante avec de lourdes conséquences en cas d’échec.

Globalement, on peut dire que j’ai reçu une formation d’ ingénieur avec vocation de chercheur dans le domaine de la modélisation des matériaux à l’échelle moléculaire. J’ai tout de même eu des notions de management, de mécanique par élément fini, de gestion des risques … lors des cours du tronc commun, et donc des connaissances en ingénierie.

Après cela, j’ai postulé dans diverses entreprises et universités pour chercher une thèse dans le domaine de la modélisation moléculaire. J’ai alors trouvé un post au CEA, pour une thèse sur l’étude de la température de fusion des matériaux soumis à de fortes pressions (de l’ordre de plusieurs 100ène de bars, pouvant aller jusqu’à quelques milliers, d’où l’utilisation de la modélisation moléculaire). Je n’ai cependant pas entièrement validé mon diplôme, puisqu’il me reste à avoir 750 points au TOEIC (la dernière fois, j’ai fait 700), et j’espère que mon attestation de fin d’étude suffira pour le moment. Je vais tenter de passer à la session du 21 Décembre à Nancy, en espérant m’être amélioré suffisamment pour avoir au moins 750 points.

Après ma thèse, on me conseille un post-doctorat, qui consiste à faire d’autres recherches et à réaliser d’autres articles scientifiques que ceux réalisés durant la thèse, afin de compléter mon CV et avoir davantage de chances d’être embauché comme chercheur.

Encore après, si possible, être chercheur au CEA, sinon, ailleurs, peut-être même à l’étranger, notamment au Québec. Il paraîtrait que le domaine de la modélisation moléculaire en est à ces débuts et est en progression, et que le Québec est très demandeur à ce niveau là.

En conclusion, je suis très satisfait de mon parcours. La prépa TSI m’a permis de me rendre plus sûr de moi. Avant le Bac, je ne me doutais pas de ce que j’étais capable de faire. J’ai pu intégrer l’ISMANS grâce à cela. En fait, cette école est intégrable à partir d’un BTS également, mais en ayant fait ce parcours je ne suis pas certain que j’aurais osé entrer dans cette école. Par la suite, l’ISMANS m’a permit de me spécialiser dans la modélisation moléculaire (je crois bien que c’est la seule école à faire cela), et grâce à cela, des organismes comme le CEA, le CNRS ou encore l’IFP sont très attirés par mon CV (j’avais déjà postulé pour un stage au CEA, je n’ai même pas eu besoin de passer d’entretien, ils m’acceptaient déjà, peut-être aussi parce que peu de monde est intéressé par ce domaine, ce qui est une grande opportunité pour moi).

Je vous remercie de m’avoir demandé de témoigner. Je pense que mon expérience peut-être un bon exemple pour certains étudiants qui hésiteraient à entrer en classe prépa (surtout pour les timides, ou encore ceux qui veulent faire de la recherche et qui sont également intéressés par la mécanique).

Arnaud (TSI : 2007-2009)

Lycée Louis Vincent, Bac STI-GE – IPSA (Paris)

 Avant d’arriver en TSI j’ai fait un  bac STI, génie Electrotechnique et je ne savais pas quel parcours choisir. La seule chose que je savais, c’était que je voulais travailler dans le domaine de l’aéronautique. J’ai donc choisis la prépa. Après les concours, j’ai choisi l’IPSA une école d’ingénieur en Aéronautique et Spatiale sur Paris.

La prépa n’est une chose facile, en revanche si on a un objectif on peut y arriver avec beaucoup plus de facilité. En effet les cours étant très théoriques, il est difficile de s’intéresser à tout, alors que c’est le contraire en école, on participe à des projets réels. La TSI reste tout de même très conviviale, et propose un large panel d’écoles même très hautes dont certaines sont plus difficiles d’accès en prépa classique. La TSI m’a apporté de la rigueur dans le travail.

Une fois en école, le rythme de travail change ! La théorie disparait petit à petit pour laisser place aux applications concrètes. Les spécialités permettent d’apprendre des choses que l’on aime …

Pour ma part je me suis spécialisé en 2ème année, en Mécanique et Structure, et en 3èmeannée en Conception des Systèmes Aéronautiques où je suis actuellement. Chaque année, j’ai effectué un stage.

En première année, j’ai assisté un ingénieur dans la conception d’un hélicoptère léger biplace, j’ai travaillé sur SolidWorks pour faire une partie des pièces des commandes de vol. J’ai découvert l’esprit d’entreprise et l’usinage de précision.

En deuxième année, j’ai assisté un ingénieur dans la conception d’une aube redresseur de flux en matériaux composites que l’on peut trouver dans un réacteur d’avion de ligne. J’ai travaillé sur Catia et principalement dans les matériaux composites.

Actuellement en dernière année, je pense travailler dans le domaine des matériaux composites en aéronautique.

Aujourd’hui, je peux dire que la prépa TSI m’a permis d’accéder à un haut niveau dans le  domaine aéronautique qui est ma passion !